Titre : Vengeance
Date de création : 17 octobre 2008
Genre : Extrêmement gore - Interdit aux âmes sensibles
Fuir.
Je passe mon temps à fuir, surtout depuis que nous ne sommes plus ensemble. T'es franchement un bel enfoiré, hein ? Il t'a fallu moins d'une semaine pour me remplacer. Et moi, ça fait des mois que je rame en ne pensant qu'à toi. J'essaie de me graver au fer rouge que je te déteste...
J'essaie...
Mais ça ne marche pas.
T'es content ? Tu m'as bien fait souffrir. Tu as toujours voulu que je me sente coupable de tout, que je prenne les choses en main et que je souffre à ta place. Tu as réussi ton coup, c'est certain. Pendant quatre ans de relation, je n'ai pas cessé de souffrir... Tu te plaignais tout le temps, tu jouais les victimes. Dans l'histoire, je me suis retrouvé écraser et totalement à la ramasse. Ca fait quelques mois que nous ne sommes plus ensemble et, pourtant, tu ne sors pas de mon esprit. La haine et l'amour ne sont séparés que par une petite ligne. Pourtant, j'éprouve encore les deux et je m'en veux terriblement. Impossible de trouver une autre personne que toi. Je refuse catégoriquement toutes les invitations qui me tombent dessus, toutes les choses bien qui pourraient m'arriver.
Tu m'as emprisonné.
Et tu ne m'as pas relâché.
Je reste toujours le larbin de service. Tu reviens vers moi, à chaque fois. Tu crois que je vais te pardonner, que je vais faire le beau et t'accepter à nouveau près de moi. Mais dès que tu te rapproches, je m'éloigne en me répétant que ce n'est pas la première fois que tu me remplaces !
Fuir.
Je ne connais que la fuite. Je suis devenu ringard et faible depuis que tu es parti. Depuis quelques temps, tu te balades en ville en tenant la main d'une Bouffonne. Et moi, garçon sans importance, je me tire en courant. Je ne supporte pas cette vision, ce sourire que tu graves sur tes lèvres alors que t'es avec Elle.
Je te hais.
Je t'aime.
Je la hais.
C'EST MA SŒUR !
Tu n'avais pas le droit de faire ça. D'accord, je t'en voulais de partir avec les filles. Mais là, c'est ma sœur que tu te tapes. Et comme si cela ne te suffisait pas, tu passes à la maison, tu sonnes, tu entres et tu marches dans les couloirs comme si tu étais chez toi. Je t'entends quand tu t'arrêtes devant la porte fermée de ma chambre. Quand je sais que tu es là, je m'enferme et reste sur mon lit, faisant semblant de lire un bouquin.
Fuir.
Je ne peux pas t'affronter maintenant. Malgré les mois qui sont passés, que tu ai demandé que je te pardonne, je n'y arrive pas. Je te déteste du plus profond de mon être. Et je hais ma sœur pour t'accepter aussi facilement après ce que tu m'as fait. Elle m'a toujours dit qu'elle te casserait la gueule et voilà que vous sortez ensemble ! En fait, je crois qu'elle attendait simplement qu'on casse pour qu'elle use de son charme devant toi. Je la vois se pouponner tout le temps dans la salle de bain en train de chanter des tubes de Lorie, tout aussi Conne qu'elle.
Je voudrais vous tuer.
Vous voir crever en m'implorant.
Je vous laisserai agoniser sans rien faire.
Je vous hais.
Je t'aime.
Fuir.
Nous sommes vendredi, début du week-end, et tu es là, à la maison. J'entends ma sœur rire alors que je suis cloîtré dans ma chambre sans oser sortir. Vous êtes encore en train de vous taper un trip sur Tekken 5. Je suis assis sur mon lit, ta photo entre les mains. Tu te souviens de cette photo ? T'es rentré dans le photomaton en pensant que j'allais te suivre et, pour le coup, t'as fait une grimace exemplaire. Nous en avons bien rit, ce jour là...
Ca y est, le rire de l'autre Connasse se transforme en gémissements. Je jette ta photo à travers ma chambre et bouche mes oreilles de mes mains, retenant à grand peine des larmes de haine et de souffrance. C'est toujours le même refrain. Pourquoi, d'un coup, j'ai des fourmillements dans les doigts ? Je retire mes mains des oreilles pour les regarder et écoute. Vous êtes bien occupés. Comme un automate, je me lève, vais ouvrir ma porte et sors direction la cuisine. Je vous vois dans le salon. Les parents sont pas là, elle en profite la grognasse. Tu es sur elle, tu t'enfonces en elle comme un malade, comme tu le faisais avec moi parce que j'adorais ça. Tu lui pelotes les seins. C'est ce qu'il te manquait ? Une paire de nichons ? Désolé, je suis un mec, c'est con.
Je vais chercher l'un des gros couteaux de cuisine de maman. Le plus affûté, quand même. Et je reviens vers vous. Toujours dans vos petites affaires, vous ne m'entendez même pas. Sans compter que ma putain de sœur a fermé les volets du salon en plein après-midi. J'ai failli me prendre l'une de tes godasses. C'est ton cul que j'ai en face de moi. Tu continus à pénétrer le trou de ma frangine et moi, je suis totalement indifférent. Jusqu'à maintenant, il n'y avait que haine, souffrance et amour à sens unique.
Vengeance.
Je regarde la lame du couteau un instant, esquisse un sourire sans émotion, et te le plante entre les fesses avec hargne. Tu cris, tu saignes. Tu hurles à t'en décrocher les amygdales. C'est la douleur que tu m'as infligée en me baisant comme un fou ! Tu essaies de te lever, tu tombes par terre et me fixe, désemparé. C'est bon de te voir comme ça. Ma sœur hurle à son tour et je lui jette un œil, pour qu'elle arrête. Aussitôt, elle prend un coussin et se le met sur le visage. J'ai aussi envie de lui faire mal. Aussi, je m'approche d'elle et plonge le couteau là où, deux minutes avant, tu avais ta queue. Je retire puis rentre à nouveau la lame à cet endroit précis alors qu'elle hurle. Ca fait un bien fou. Mais ce n'est pas avec elle que j'ai le plus envie de jouer. Tu es par terre, en train de saigner du cul, à me fixer comme si j'étais un fantôme. Je me verrai plutôt en faucheuse, sur le moment. Je m'accroupis en écartant tes jambes. Tu as un mouvement de recul mais, courageux comme tu es, tu ne dis rien. Alors je saisi ton sexe pour le couper lentement. Tu pleures, tu gémis, tu te mords les lèvres pour éviter la crise. Tu aimerai appeler à l'aide mais tu es trop fier, connard. J'arrache le reste de tendons qui restent accrochés entre ton corps et ta queue, la lèche une seconde puis l'envoie voler. Tu tombes dans l'inconscience... Mais tu sembles comprendre. Ta main s'avance vers moi, je recule.
Fuir.
Tes doigts caressent ma joue, mes lèvres ensanglantées, puis tombent mollement sur le sol. Tu t'es évanoui dans la fierté, fils de pute.
Et je t'aime toujours autant !
Tu joues les gentils, t'as toujours été tendre derrière tes plaintes.
Et tu t'évanoui dans l'honneur !
Et je me tue dans l'horreur...
La lame se plante dans ma gorge, je la coupe d'une traite rapidement, un simple passage et mon sang gicle.
Le couteau tombe, atterrit sur un bain de sang.
Je tombe, atterrit sur Toi...
Je passe mon temps à fuir, surtout depuis que nous ne sommes plus ensemble. T'es franchement un bel enfoiré, hein ? Il t'a fallu moins d'une semaine pour me remplacer. Et moi, ça fait des mois que je rame en ne pensant qu'à toi. J'essaie de me graver au fer rouge que je te déteste...
J'essaie...
Mais ça ne marche pas.
T'es content ? Tu m'as bien fait souffrir. Tu as toujours voulu que je me sente coupable de tout, que je prenne les choses en main et que je souffre à ta place. Tu as réussi ton coup, c'est certain. Pendant quatre ans de relation, je n'ai pas cessé de souffrir... Tu te plaignais tout le temps, tu jouais les victimes. Dans l'histoire, je me suis retrouvé écraser et totalement à la ramasse. Ca fait quelques mois que nous ne sommes plus ensemble et, pourtant, tu ne sors pas de mon esprit. La haine et l'amour ne sont séparés que par une petite ligne. Pourtant, j'éprouve encore les deux et je m'en veux terriblement. Impossible de trouver une autre personne que toi. Je refuse catégoriquement toutes les invitations qui me tombent dessus, toutes les choses bien qui pourraient m'arriver.
Tu m'as emprisonné.
Et tu ne m'as pas relâché.
Je reste toujours le larbin de service. Tu reviens vers moi, à chaque fois. Tu crois que je vais te pardonner, que je vais faire le beau et t'accepter à nouveau près de moi. Mais dès que tu te rapproches, je m'éloigne en me répétant que ce n'est pas la première fois que tu me remplaces !
Fuir.
Je ne connais que la fuite. Je suis devenu ringard et faible depuis que tu es parti. Depuis quelques temps, tu te balades en ville en tenant la main d'une Bouffonne. Et moi, garçon sans importance, je me tire en courant. Je ne supporte pas cette vision, ce sourire que tu graves sur tes lèvres alors que t'es avec Elle.
Je te hais.
Je t'aime.
Je la hais.
C'EST MA SŒUR !
Tu n'avais pas le droit de faire ça. D'accord, je t'en voulais de partir avec les filles. Mais là, c'est ma sœur que tu te tapes. Et comme si cela ne te suffisait pas, tu passes à la maison, tu sonnes, tu entres et tu marches dans les couloirs comme si tu étais chez toi. Je t'entends quand tu t'arrêtes devant la porte fermée de ma chambre. Quand je sais que tu es là, je m'enferme et reste sur mon lit, faisant semblant de lire un bouquin.
Fuir.
Je ne peux pas t'affronter maintenant. Malgré les mois qui sont passés, que tu ai demandé que je te pardonne, je n'y arrive pas. Je te déteste du plus profond de mon être. Et je hais ma sœur pour t'accepter aussi facilement après ce que tu m'as fait. Elle m'a toujours dit qu'elle te casserait la gueule et voilà que vous sortez ensemble ! En fait, je crois qu'elle attendait simplement qu'on casse pour qu'elle use de son charme devant toi. Je la vois se pouponner tout le temps dans la salle de bain en train de chanter des tubes de Lorie, tout aussi Conne qu'elle.
Je voudrais vous tuer.
Vous voir crever en m'implorant.
Je vous laisserai agoniser sans rien faire.
Je vous hais.
Je t'aime.
Fuir.
Nous sommes vendredi, début du week-end, et tu es là, à la maison. J'entends ma sœur rire alors que je suis cloîtré dans ma chambre sans oser sortir. Vous êtes encore en train de vous taper un trip sur Tekken 5. Je suis assis sur mon lit, ta photo entre les mains. Tu te souviens de cette photo ? T'es rentré dans le photomaton en pensant que j'allais te suivre et, pour le coup, t'as fait une grimace exemplaire. Nous en avons bien rit, ce jour là...
Ca y est, le rire de l'autre Connasse se transforme en gémissements. Je jette ta photo à travers ma chambre et bouche mes oreilles de mes mains, retenant à grand peine des larmes de haine et de souffrance. C'est toujours le même refrain. Pourquoi, d'un coup, j'ai des fourmillements dans les doigts ? Je retire mes mains des oreilles pour les regarder et écoute. Vous êtes bien occupés. Comme un automate, je me lève, vais ouvrir ma porte et sors direction la cuisine. Je vous vois dans le salon. Les parents sont pas là, elle en profite la grognasse. Tu es sur elle, tu t'enfonces en elle comme un malade, comme tu le faisais avec moi parce que j'adorais ça. Tu lui pelotes les seins. C'est ce qu'il te manquait ? Une paire de nichons ? Désolé, je suis un mec, c'est con.
Je vais chercher l'un des gros couteaux de cuisine de maman. Le plus affûté, quand même. Et je reviens vers vous. Toujours dans vos petites affaires, vous ne m'entendez même pas. Sans compter que ma putain de sœur a fermé les volets du salon en plein après-midi. J'ai failli me prendre l'une de tes godasses. C'est ton cul que j'ai en face de moi. Tu continus à pénétrer le trou de ma frangine et moi, je suis totalement indifférent. Jusqu'à maintenant, il n'y avait que haine, souffrance et amour à sens unique.
Vengeance.
Je regarde la lame du couteau un instant, esquisse un sourire sans émotion, et te le plante entre les fesses avec hargne. Tu cris, tu saignes. Tu hurles à t'en décrocher les amygdales. C'est la douleur que tu m'as infligée en me baisant comme un fou ! Tu essaies de te lever, tu tombes par terre et me fixe, désemparé. C'est bon de te voir comme ça. Ma sœur hurle à son tour et je lui jette un œil, pour qu'elle arrête. Aussitôt, elle prend un coussin et se le met sur le visage. J'ai aussi envie de lui faire mal. Aussi, je m'approche d'elle et plonge le couteau là où, deux minutes avant, tu avais ta queue. Je retire puis rentre à nouveau la lame à cet endroit précis alors qu'elle hurle. Ca fait un bien fou. Mais ce n'est pas avec elle que j'ai le plus envie de jouer. Tu es par terre, en train de saigner du cul, à me fixer comme si j'étais un fantôme. Je me verrai plutôt en faucheuse, sur le moment. Je m'accroupis en écartant tes jambes. Tu as un mouvement de recul mais, courageux comme tu es, tu ne dis rien. Alors je saisi ton sexe pour le couper lentement. Tu pleures, tu gémis, tu te mords les lèvres pour éviter la crise. Tu aimerai appeler à l'aide mais tu es trop fier, connard. J'arrache le reste de tendons qui restent accrochés entre ton corps et ta queue, la lèche une seconde puis l'envoie voler. Tu tombes dans l'inconscience... Mais tu sembles comprendre. Ta main s'avance vers moi, je recule.
Fuir.
Tes doigts caressent ma joue, mes lèvres ensanglantées, puis tombent mollement sur le sol. Tu t'es évanoui dans la fierté, fils de pute.
Et je t'aime toujours autant !
Tu joues les gentils, t'as toujours été tendre derrière tes plaintes.
Et tu t'évanoui dans l'honneur !
Et je me tue dans l'horreur...
La lame se plante dans ma gorge, je la coupe d'une traite rapidement, un simple passage et mon sang gicle.
Le couteau tombe, atterrit sur un bain de sang.
Je tombe, atterrit sur Toi...